mercredi 15 mai 2013

Le rôle Stress joue dans la douleur chronique

Catégorie principale : Douleur / anesthésiques
Également inclus dans : Anxiété / Stress ;  Maux de dos
L'article Date: 26 février 2013 - 1:00 PST courants nominaux pour :
Le rôle Stress joue dans la douleur chronique
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Pour les personnes souffrant de douleurs chroniques, telles que les personnes qui développent des maux de dos après un accident de voiture, en évitant les effets néfastes du stress peut être clé à gérer leur maladie. Cela est particulièrement important pour les personnes avec un hippocampe plus petits que la moyenne, comme ces personnes semblent être particulièrement vulnérables au stress. Telles sont les conclusions d'une étude réalisée par le Dr Pierre Rainville, doctorat en neuropsychologie, chercheur au Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal (IUGM) et professeur à la faculté de médecine dentaire à l'Université de Montréal, ainsi que Etienne Vachon-Presseau, étudiante au doctorat en neuropsychologie. L'étude est apparu dans le cerveau, un journal publié par Oxford University Press.

"Cortisol, une hormone produite par les glandes surrénales, est appelée « l'hormone du stress » tel qu'il est activé en réaction au stress. Notre étude montre qu'un petit volume hippocampique est associé à des niveaux plus élevés de cortisol, qui conduisent à une vulnérabilité à la douleur accrue et pourrait augmenter le risque de développer la chronicité de la douleur, » a expliqué Étienne Vachon-Presseau.

Selon le Dr Pierre Rainville, « notre recherche éclaire encore plus sur les mécanismes neurobiologiques de cette importante relation entre le stress et la douleur. Si le résultat d'un accident, de maladie ou de la chirurgie, la douleur est souvent associée à des niveaux élevés de stress, que nos résultats sont utiles car ils ouvrent des pistes pour les personnes qui souffrent de douleur, de trouver des traitements qui peuvent diminuer son impact et peut-être même éviter la chronicité. En complément de leur traitement médical, personnes souffrant de douleurs peut également fonctionner sur leur gestion du stress et la peur de la douleur en demandant de l'aide d'un psychologue et d'essayer des techniques de relaxation ou de méditation. »

Sommaire de recherche

Cette étude comprenait 16 patients atteints de douleurs chroniques du dos et un groupe témoin de 18 sujets sains. Le but était d'analyser les relations entre les quatre facteurs: 1) le taux de cortisol, qui ont été déterminé avec des échantillons de salive ; 2) l'évaluation de la douleur clinique rapportée par les patients avant leur balayage de cerveau (perception de la douleur) ; 3) hippocampe volumes mesurés avec anatomique d'imagerie par résonance magnétique (IRM) ; et 4) les activations évaluées avec l'IRM fonctionnelle (IRMf) après stimulation thermique douleur du cerveau. Les résultats ont montré que les patients souffrant de douleur chronique ont généralement des niveaux plus élevés de cortisol que les individus en bonne santé.

L'analyse des données a révélé que les patients avec un hippocampe plus petite ont des niveaux plus élevés de cortisol et des réponses plus fortes à la douleur aiguë dans une région du cerveau impliquée dans l'anxiété d'anticipation par rapport à la douleur. La réponse du cerveau à la procédure douloureuse pendant l'analyse reflète en partie l'intensité de la condition actuelle de clinique de la douleur du patient. Ces résultats confortent le modèle de vulnérabilité de la douleur chronique dans laquelle les personnes avec un plus petit hippocampe développer une plus forte réponse au stress, qui à son tour augmente leur douleur et peut-être leur risque de souffrir de douleurs chroniques. Cette étude soutient également les interventions de gestion de stress comme une option thérapeutique pour les personnes souffrant de douleur chronique.

Article adapté par Medical News Today de communiqué de presse original. Cliquez sur « références » onglet ci-dessus pour la source.
Visitez notre douleur / anesthésiques section pour les dernières nouvelles sur ce sujet. Sur les principaux auteurs
Dr Pierre Rainville, doctorat en neuropsychologie, chercheur au Centre de recherche de l'IUGM
Directeur du laboratoire de la Neuropsychophysiologie de la douleur
Professeur titulaire, département de stomatologie, Faculté de médecine dentaire, Université de Montréal
Groupe de recherche sur le système nerveux central (GRSNC), Université de Montréal
Étienne Vachon-Presseau, étudiante au doctorat en neuropsychologie, département de psychologie, Université de Montréal
Référence
Étienne Vachon-Presseau, Mathieu Roy, Marc-Olivier Martel, Etienne Caron, Marie-France Marin, Jeni Chen, Geneviève Albouy, Isabelle Plante, Michael J. Sullivan, Sonia J. Lupien et Pierre Rainville. « Le modèle du stress de la douleur chronique : evidence from cortisol basale et structure de l'hippocampe et fonction chez l'humain », 18 février 2013.
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Université de Montréal. « Le rôle Stress joue dans la douleur chronique ». Nouvelles médicales aujourd'hui. MediLexicon, aéroport international, 26 février 2013. Web.
14 Mars 2013. APA

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